Formé en danse contemporaine dans les années 90 entre les Etats Unis et la France (Merce Cunningham, New York Ballet School) et en danse contact Improvisation, diplômé DE danse contemporaine, certifié en Gestalt Thérapie, il a dansé pour (les Cies Taffanel, Langlade, Kumulus…). Il fonde la Cie de danse Le Groupe la Source en 1992 : il crée plusieurs pièces (Mister Hot, Voies d’hommes, Toi et moi, voyages, Non Sens, Java de Soi, Fantaisie des couloirs aériens...). Il œuvre pour le développement de la culture chorégraphique en milieu rural et urbain : Les Caprines, les Quartiers Lumière, Défilé pour la Biennale de la Danse de Lyon, festival Action danse d'Oujda et participe à des échanges interculturels avec le Maroc, la Tunisie, l’Inde, la Grèce, La Turquie… Entre les créations, il développe son enseignement : L’art du langage corporel.
Hors des sentiers scolaires et académiques de danse, Gwendoline se forge une expérience pluridisciplinaire dans le milieu artistique au gré de workshops avec des chorégraphes et de rencontres avec des artistes. Dans une école de la vie plus proche de ce en quoi elle croit. Elle se forme particulièrement aux techniques d’improvisation, et développe sa pratique de danseuse aux côtés de David Zambrano, Julyen Hamilton, Virginia Heinen, Rob Hayden (Cie Wim Vandekeybus), Tamara Gvozdenovic (Cie Peeping Tom), Fabio Sforzini (Théâtre Total Project), Daniele Sardella (DanSoma postural training). Sensible au pouvoir fédérateur de la danse, mais aussi au lâcher prise et à la sensibilité que la danse procure, Gwendoline a la volonté de faire du mouvement et de la danse un véritable outil de réappropriation du corps, que ce soit dans une approche politique, culturelle, artistique ou de bien-être.
NIKOLAI KIEL Danseur, ethnologue, épigraphiste
Nikolaï naît et grandit au bord de la mer du Nord en Allemagne. Il fait ses études en anthropologie/ethnologie et indologie comme bachelor à l’université de Mayence, en Allemagne et obtient un master en anthropologie/ethnologie et études précolombiennes en 2017 à l’université de Bonn. Travaillant en recherche en déchiffrant les hiéroglyphes mayas en tant qu’épigraphiste, il apprend une douzaine de langues dans son cheminement. Transformé par l’expérience de la danse Gaga en Israël en 2019, il s’investit en Europe dans la danse contact avec Hugh Stainier et Vega Lukkonen, puis aux techniques d’improvisation appliquées à la danse avec Claude Magne et en Théâtre corporel avec Fabio Sforzini, enfin dans la danse contemporaine et en acrobatie avec Marion Sparber, Alain Fuentes Guerra et Natalia Pieczuro. Nikolaï s’intéresse actuellement aux interférences entre théâtre, danse et acrobatie qui lui permettent de prolonger sa passion des langues et du mot parlé toujours en recherche sur le lien corporel et physique entre la phonologie, l’étymologie et les coutumes natives et indigènes.
